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Je ne vais pas te mentir : si je me suis intéressé à l’Hôtel La Caravelle, ce n’est même pas parce que j’y ai dormi. Non, la vérité c’est que c’est mon cousin de Cambrai qui m’en a parlé un soir, entre deux discussions sur Nyons et les olives AOP.
Il y avait séjourné pendant quelques jours et il m’avait lancé :
« Je ne sais pas ce que t’attends pour y aller, c’est calme, propre, et la patronne est adorable. »
Et comme souvent, quand quelque chose vient d’un cousin du Nord, on se méfie un peu mais on écoute quand même.
D’autant que, depuis, j’en ai entendu uniquement du bien. Entre les amis de passage à Nyons, les habitués du marché du jeudi, les marcheurs qui partent depuis la digue, ou ceux qui me parlent du cinéma de Nyons, la Caravelle revient toujours dans les conversations. Alors forcément, j’ai fini par creuser.
Dans la logique nyonsaise, La Caravelle fait partie de ces endroits qui ne cherchent pas à impressionner : pas d’enseigne tape-à-l’œil, pas de façade bling-bling.
Juste un portail, un jardin, et cette ambiance calme qui fait dire à tout le monde :
« Ici, on souffle. »
L’hôtel se trouve à environ 10 minutes à pied du centre.
C’est pile la bonne distance : assez loin pour dormir paisiblement, assez près pour rejoindre :
ou même aller se faire une toile au cinéma de Nyons (tiens, parfait pour un lien sur vivreanyons.fr).
Le quartier est résidentiel, entouré de verdure, avec un parking qui plaît beaucoup aux voyageurs surtout ceux qui arrivent en moto ou en van.
S’il y a un truc qui revient dans presque tous les avis, c’est l’accueil.
À force d’écouter les retours, on finit par connaître la patronne sans l’avoir rencontrée :
bienveillante, aux petits soins, souriante, toujours prête à dépanner, à conseiller un resto, à parler des sentiers du Pontias, ou à expliquer où trouver les meilleures olives Tanche du coin.
On a parfois l’impression de retrouver l’accueil d’une maison d’hôtes, mais avec le confort d’un hôtel.
Et ça, crois-moi, ça compte énormément pour les gens qui viennent à Nyons chercher le calme, la chaleur locale et un peu d’authenticité.
Les retours que j’ai reçus et lus disent tous la même chose : ce n’est pas un hôtel de luxe, mais un hôtel bien tenu, propre, avec une literie confortable. Certains parlent de chambres spacieuses, d’autres de petits balcons donnant sur les collines de Nyons.
Et beaucoup apprécient la clim, surtout en été – on sait ce que c’est, la Drôme fin juillet…
Les voyageurs saluent aussi la propreté irréprochable.
Ce n’est pas moi qui le dis : ce sont des dizaines de retours, parfois d’habitués qui reviennent année après année.
D’ailleurs, plusieurs racontent que le ménage est impeccable, les serviettes régulièrement changées, et que rien ne traîne.
Aujourd’hui, c’est loin d’être une évidence dans tous les hôtels.
Là aussi, unanimité ou presque.
Le petit déjeuner, sans prétention, mais bon, varié, servi souvent sur la terrasse, à l’ombre des arbres.
C’est ce moment où tout le monde ralentit : les randonneurs sortent leurs cartes, les familles discutent du programme du jour, et les motards sirotent leur café en regardant la météo.
Et quand il fait beau (ce qui arrive, disons très souvent à Nyons), c’est un vrai plaisir.
Ce qui frappe dans les témoignages, c’est la cohérence sur les années.
Il y a des avis datant de 7, 10, parfois 12 ans.
Et les gens disent la même chose qu’en 2024 ou 2025 :
calme, propreté, accueil, bons conseils, bon rapport qualité-prix.
Alors oui, il y a eu deux ou trois voyageurs plus sévères — insonorisation, chauffage un soir d’hiver, ou une déco qu’ils trouvaient trop simple.
Rien d’illogique : aucun hôtel ne plaît à 100 % des visiteurs.
Mais la majorité parle d’un séjour agréable, d’un endroit propre, humain, sans mauvaises surprises.
Et c’est probablement pour ça que beaucoup d’habitués reviennent : à Nyons, on aime les lieux qui ne trichent pas.
Ce qui est génial avec La Caravelle, c’est qu’on peut poser sa voiture et ne plus la toucher du séjour.
À pied, on accède à tout :
les ruelles du centre,
la Place des Arcades,
le marché du jeudi,
la promenade le long de l’Eygues,
les artisans,
et même les balades vers le Pontias pour ceux qui aiment grimper.
Pour ceux qui veulent connaître la ville comme un local, c’est parfait.
Je n’ai pas encore dormi à La Caravelle, mais après les retours de mon cousin de Cambrai, et tout ce que j’ai entendu et uniquement du positif j’ai fini par me dire que cet hôtel coche beaucoup de cases.
Simple, calme, bien placé, bien tenu, avec un accueil qui fait la différence.
C’est peut-être ça, finalement, le secret :
un hôtel qui ne promet pas trop, mais qui livre exactement ce qu’il doit.
Un endroit sans chichi, mais où les gens reviennent.
Et ça, c’est souvent le meilleur indicateur qui soit.
Adresse : 8 Rue des Antignans, 26110 Nyons
Téléphone : 04 75 26 07 44