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La pharmacie des Antignans. Rien que d’en parler, ça me ramène aux fois où j’y passais avec mon bob en coton et ma petite liste froissée. Une vraie institution à Nyons, posée juste assez près du Super U pour qu’on puisse se garer
« sans faire trois tours comme un pigeon autour du clocher ».
Alors bien sûr, en lisant les avis, on voit de tout : du « personnel adorable et à l’écoute » jusqu’au « pharmacienne maquillée comme un pot de peinture » (je cite hein, c’est pas moi qui parle !). On dirait presque que certains décrivent la même scène mais pas avec les mêmes lunettes. C’est ça, les pharmacies de village : des habitués depuis trente ans, des nouveaux qui tombent le mauvais jour, et des langues qui vont plus vite que le thermomètre.
Moi, j’ai toujours trouvé qu’ils avaient le sens du conseil. T’arrives avec ton ordonnance chiffonnée, tu sais même plus quel côté présenter, et hop, y en a toujours un pour te remettre droit. Et quand tu demandes un truc pour « le genou qui couine », ils te sortent la crème, la tisane, et parfois même un sourire.
Mais bon, comme disait mon voisin André : « Une pharmacie, c’est comme le Picodon : y en a qui le trouvent trop fort, d’autres pas assez affiné ». Certains râlent, d’autres jurent que c’est leur préférée. Y en a qui regrettent les anciens, y en a qui adorent les nouveaux. Bref, une vraie pharmacie de vie, avec ses bons jours, ses moins bons, et ses clients fidèles qui jurent qu’ils n’iront jamais ailleurs.
Ce qui est sûr, c’est qu’au bout de dix ans de Nyons, on s’y croise tous au moins une fois. Et souvent, ça repart avec un conseil, un bonjour, et parfois même un petit débat sur qui a la meilleure crème pour le dos du marché.
Pharmacie Les Antignans 2 Rue des Voconces · 04 75 26 07 86
la Pharmacie Centrale, le nom, ça sent déjà le cœur du village, le comptoir où tout le monde finit par passer, même ceux qui jurent qu’ils n’ont « jamais rien » mais repartent quand même avec un spray pour le nez. À Nyons, c’est un peu comme le café du coin : on y voit défiler les nouveaux arrivants, les vieux routards du marché, et même quelques touristes paumés qui demandent un doliprane « in anglais ».
Ce qui frappe dans les avis, c’est que ça sourit souvent ici. On parle d’un accueil aimable, d’une équipe à l’écoute, capable de donner un bon conseil même quand y a trois personnes qui trépignent derrière. Une dame raconte qu’on lui a proposé son vaccin contre la grippe sans qu’elle n’ait rien demandé. Ça, c’est du service ! Dans les petites villes, on appelle ça « prendre soin des gens ».
Bien sûr, comme partout, y a des moments où ça accroche : un client qui tombe sur une employée trop stricte un lundi matin, un autre qui n’aime pas qu’on rappelle les règles de la Sécurité sociale. Eh oui, même les pharmacies ont leurs jours sans, comme nous quand le Pontias souffle trop fort. Mais dans l’ensemble, ça respire le professionnalisme, le conseil, et même une bonne dose de patience.
J’aime bien aussi lire que le personnel essaie d’aider en anglais. Parce qu’entre les Hollandais qui débarquent au printemps et les Anglais en camping-car venant de l’aire camping-car qui cherchent une crème pour les moustiques, faut parfois jongler entre deux langues et trois mimes.
Et quand ça tourne vraiment mal, certains finissent chez le médecin ou chez le dentiste.
Moi, en papy du coin, je le dis : la Pharmacie Centrale, c’est une valeur sûre. Pas parfaite, mais humaine. Une pharmacie où on peut entrer pour un vaccin, un conseil ou même juste un sourire et on repart souvent avec les trois.
Pharmacie Centrale 4 Pl. de la Libération · 04 75 26 01 98
Ah, la Pharmacie des Plantes le nom, ça sent déjà l’eucalyptus, la lavande et le petit conseil chuchoté entre deux étagères. À Nyons, c’est une pharmacie qui fait partie du décor depuis si longtemps que certains y allaient déjà quand ils avaient plus de cheveux que de soucis.
En lisant les avis, on voit bien qu’ici, ça balance entre deux ambiances : d’un côté, les clients ravis qui parlent de gentillesse, de grands sourires, de bons conseils et même de rires au comptoir. Le genre de service qui te remet d’aplomb rien qu’en franchissant la porte. Une dame raconte même qu’elle a été accueillie « avec chaleur » un soir à vingt heures trente à cette heure-là, dans un village, c’est presque héroïque.
Et puis, forcément, il y a l’autre côté : un client un peu déçu, une erreur de dosage, un échange qui pique un peu. Eh oui, même les meilleurs peuvent avoir un jour où la machine grippe. Ce qui est rassurant, c’est qu’à chaque fois, l’équipe répond, s’excuse, explique, et promet d’améliorer les procédures. Du papy Chris vécu : c’est souvent le signe qu’on a affaire à des pros qui veulent bien faire.
Ce qui ressort surtout, c’est la constance :
– des habitués fidèles depuis trente ans,
– des gens qui saluent l’écoute,
– des compliments sur les huiles essentielles,
– un vrai sens du service, même en anglais pour les touristes perdus entre deux flacons d’arnica.
Quand le bobo dépasse le simple conseil, beaucoup regardent la page santé à Nyons
pour trouver un médecin, un dentiste, ou même un autre service utile.
Moi, j’aime bien ces pharmacies qui évoluent avec le village. On y voit passer les générations, des bobos du marché jusqu’aux randonneurs qui demandent une pommade « pour le mollet qui tire ».
La Pharmacie des Plantes, c’est un peu ça : un mélange de science, de plantes, et d’humanité avec parfois un couac, mais toujours quelqu’un derrière le comptoir pour remettre les pendules à l’heure avec le sourire.
PHARMACIE DES PLANTES 33 Pl. du Dr Bourdongle · 04 75 26 01 68
Pharmacie de l’Olivier, ça sent la Provence. On imagine presque un pot d’onguent posé sous un olivier centenaire, les cigales qui crissent, et quelqu’un qui demande : « Vous avez quelque chose pour le genou ? »
À Nyons, cette pharmacie, c’est un peu la discrète du village. Pas la plus bavarde, mais toujours là quand il faut. Les avis le montrent bien : on y parle d’un bon accueil, d’une équipe gentille et à l’écoute, du personnel aimable, et de pharmaciens qui prennent vraiment le temps de chercher, d’aider, de conseiller. Un monsieur raconte même qu’un pharmacien de garde a retourné la pharmacie entière pour trouver une attelle adaptée ça, c’est du service avec un grand S !
Évidemment, comme partout, il y a les fameux jours « où ça frotte ». Un avis évoque un pharmacien de garde un peu sec, pas très enclin à laisser entrer les gens en pleine chaleur. Ah, les gardes c’est comme le Pontias : parfois ça pique, parfois ça passe tout seul. Les pharmacies de garde, c’est un mélange d’urgence, de fatigue et de clients qui arrivent tous en même temps avec une semelle cassée ou une piqûre d’abeille. Dans ces situations, certains appellent les pompiers de Nyons ou une ambulance.
Mais dans l’ensemble, ce qui ressort de la Pharmacie de l’Olivier, c’est la disponibilité, la bienveillance, la rapidité, et cette petite touche locale où on reconnaît les visages, où on dit « bonjour » avant même d’avoir passé le pas de la porte.
Et puis, ce que j’aime bien, c’est que beaucoup soulignent qu’on y écoute vraiment les gens. Dans un village, c’est précieux : la moitié des bobos se soignent rien qu’en parlant. Le reste avec un tube de pommade.
Bref, une pharmacie simple, solide, à taille humaine.
Une pharmacie qui porte bien son nom : calme, utile, et qui fait de l’ombre quand il fait trop chaud.
Pharmacie de l’Olivier 52 Pl. de la Libération · 04 75 26 03 78
Réponse :
Les pharmacies de garde changent régulièrement.
Pour connaître celle ouverte la nuit, le dimanche ou les jours fériés, les habitants consultent souvent :
– L’affichage devant chaque pharmacie
– Les panneaux lumineux du centre-ville
– Ou, en cas d’urgence, appellent les pompiers de Nyons :
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