Savoir les endroits que je recommande toujours quand on me demande : Où dormir à Nyons ? Que faire ? Où manger ? écrit moi ICI contact@vivreanyons.fr
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Nyons - Quand j’en parle, j’ai toujours une image qui me revient : celle des familles Lorraines débarquant ici en 1940 après cinq jours de train sans savoir où elles allaient finir. Elles venaient d’un petit village près de Metz, Hayes, jetées hors de chez elles par les Allemands. “50 kilos et 2 000 francs”, c’est tout ce qu’on leur avait laissé. Et elles arrivent là, à Nyons, devant cette montagne énorme qui barre le ciel. Pour des gens habitués aux plaines et aux forêts, ça devait faire comme un coup de massue mais un coup de massue lumineux, presque rassurant.
Aujourd’hui, quand les voyageurs arrivent à Nyons pour leurs vacances, émerveillés par la lumière et les oliviers, je me dis souvent :
“Eh oui, on a tous eu un moment où Nyons nous est tombé dessus d’un coup, et on s’en est jamais remis.”
Alors voilà, entre deux souvenirs, je te raconte les 10 meilleures résidences et chambres d’hôtes avec piscine, classées par les notes Google, mais servies à la sauce Papy Chris, avec ce parfum de vie, de débrouille et d’accueil que Nyons a toujours eu dans son ADN.
Quand tu montes là-haut, sur les hauteurs, avec les terrasses fleuries, la piscine qui brille et les oliviers qui te disent bonjour, tu comprends vite pourquoi des voyageurs parlent de “petit paradis”. Ça m’a toujours rappelé les gamins Lorrains de 1940 qui jouaient Place aux Herbes pendant que les adultes installaient des cordes aux murs pour faire des penderies dans les appartements vides.
À La Lézardière, c’est l’inverse : tout est là, tout est beau, tout est prêt. Toi, t’as juste à poser ta valise, respirer et vivre.
Ce mas sent la carte postale et la Provence authentique. Deux chambres, une roulotte en bois, la piscine chauffée au milieu des arbres. Quand on voit tout ça, on repense aux familles qui, en 1941, travaillaient dans les fermes autour de Nyons et rentraient le soir les bras chargés de nourriture trouvée “en échange d’un coup de main”.
Ici, rien à échanger : tout est prévu pour la détente. Spa, verdure, terrasses. Un vrai havre.
Ça, c’est l’adresse idéale pour ceux qui veulent tout faire à pied. Hôtel familial, charme rétro, petite piscine pour se rafraîchir après le marché du jeudi. Les Lorraines faisaient la queue pour le lait devant Madame Berthel, toi tu fais la queue pour le jacuzzi. C’est une autre époque, mais toujours la même ambiance de solidarité et de chaleur humaine.
Un ancien bâtiment en pierre perché sur les collines.
Le matin, quand le soleil glisse sur les Baronnies, tu restes planté là comme un gosse.
Les familles Lorraines racontaient qu’en arrivant, elles avaient ouvert les volets sur cette montagne, d’un air à dire : “C’est donc ici qu’on va vivre ?”. Le Serre Long, c’est un peu ce même moment suspendu, mais version confort, piscine incluse.
Je te jure que le petit-déj ici, c’est un câlin. Confitures maison, gâteaux, fruits locaux… Les Lorraines de 1940 auraient vendu leur âme pour ça, elles qui vivaient dans quatre pièces vides Place aux Herbes, neuf personnes, un seul point d’eau…
La Galiane, c’est la Provence dans son plus doux. Calme, verdure, gentillesse : la vraie Nyons.
Là, c’est pour les couples qui veulent se retrouver dans un cocon. Petite terrasse, décoration douce, vue panoramique, piscine privée rien que pour toi.
J’imagine les enfants Lorrains, qui grimpaient partout pour voir la ville d’en haut : eux auraient adoré ce perchoir.
Et le propriétaire, discret mais toujours là, rappelle cette façon Nyonsaise d’accueillir en respectant la tranquillité des gens.
Chambres contemporaines, larges baies vitrées, terrasses fleuries. On est dans la version moderne de la Provence.
Quand on pense qu’en 1940 les familles tendaient des cordes aux murs pour faire des penderies, et qu’aujourd’hui on a des suites design parfaitement pensées… on voit tout le chemin parcouru.
Piscine, calme, nature : un équilibre parfait.
Avec sa vue jusqu’au Ventoux, cette villa porte bien son nom. C’est un endroit où on se pose, où on respire, où on rêve.
Je pense aux spectacles du Casino dans les années 40, quand les familles Lorraines avaient gagné un litre d’huile d’olive à la tombola le trésor absolu ! Aujourd’hui, ce serait la piscine de 11 × 5 m qui ferait gagner des étoiles dans les yeux.
Ici, c’est la Provence version royal. Piscine à débordement, sauna, jacuzzi, massages, vieilles pierres.
Quand tu viens là, tu comprends que Nyons sait aussi faire dans la grande classe.
Rien à voir avec les baraquements des Chantiers de Jeunesse où les familles réfugiées avaient passé leur première nuit.
Là, c’est détente totale, une vraie escapade romantique.
Studio cosy, kitchenette, vue magnifique, piscine agréable… Et surtout ce calme qui fait du bien.
Pour les couples ou petites familles qui veulent autonomie + piscine, c’est le bon plan.
Quand on pense aux 9 personnes entassées Place aux Herbes en 1940, et qu’on voit ce petit nid indépendant aujourd’hui, on se dit que oui : Nyons a bien évolué.
Nyons a toujours su accueillir.
Les touristes aujourd’hui, comme les Lorrains d’hier.
Avec les piscines, le soleil, les jardins fleuris… ou juste un sourire et un peu de chaleur humaine.
Ici, tout le monde trouve une place.
Et très souvent, sans vraiment s’y attendre,
Nyons devient un morceau de leur histoire.