Les amis, si vous n’avez jamais mis les pieds chez Nat’CuisineThaï, alors vous n’avez pas encore compris ce que “voyager sans prendre l’avion” veut dire.
Parce qu’ici, au coin d’une petite rue tranquille de Nyons, entre le chant des cigales et les effluves d’huile d’olive, on se retrouve soudain à Bangkok ! Et tout ça sans passeport ni moustiquaire.

Le repas – une claque parfumée

Je vous préviens : la première bouchée, ça réveille les papilles comme un mistral dans un champ de piments.
Le pad thaï fond sous la dent, le curry vert chauffe juste ce qu’il faut (pas besoin d’appeler les pompiers), et la soupe coco citronnelle ah là là, une caresse qui te fait fermer les yeux comme si tu venais d’entendre ta chanson préférée.

C’est du fait maison, du vrai. Pas les machins qu’on sort du congélateur en douce pendant que t’as le dos tourné. Ici, tout sent la coriandre fraîche, la citronnelle et la bonne humeur. On se croirait dans une cuisine de village, mais avec les épices du bout du monde.

Et puis, c’est propre comme un sou neuf ! Les casseroles brillent, les tables aussi. J’ai même hésité à manger par terre, juste pour tester la propreté (bon, j’ai pas osé, faut pas pousser non plus).

Le service – le pays du sourire, vraiment

Ah, Nat’, la patronne, c’est une perle. Toujours un grand sourire, un mot gentil, et cette manière de t’accueillir comme si tu étais un vieux copain perdu de vue depuis la colonie de vacances.
Même quand la salle est pleine, elle garde son calme, son sourire et sa petite voix douce :

“Merci beaucoup”
“Bisous à vous deux”
Je vous jure, c’est pas des réponses automatiques, c’est du vrai naturel thaï.

Et ça fait du bien, dans un monde où les restos te regardent parfois comme si tu venais demander un crédit. Ici, on rit, on papote, et on se ressert du riz sans chichi.

Les prix – tout doux, comme un dessert coco

Entre 10 et 20 euros le repas, on est loin du luxe, mais on mange comme des rois.
Un bon plat, un sourire, un petit air d’ailleurs, le tout pour le prix d’un sandwich sur l’autoroute : moi je dis, c’est cadeau.

Y’en a même un qui a noté :
“Cuisine de ouf, très propre, très sympa. Nous reviendrons.”
Et je confirme, le gars n’exagère pas : à ce tarif, c’est presque indécent d’aimer autant ce qu’on mange.

L’ambiance – zen, simple et pleine de chaleur

Pas de décor prétentieux ni de statues géantes de Bouddha en plastique.
Quelques lanternes, des senteurs discrètes, un fond de musique douce… on est bien.
Les couples murmurent, les familles rigolent, les habitués trinquent avec un petit “Singha” (la bière thaï, pas la lionne du zoo, hein).

Et quand le marché du jeudi bat son plein, on voit les gens passer, sourire, sentir, hésiter… puis craquer.
Comme disait une cliente :
“Toutes les saveurs du pays du sourire. Vivement recommandé !”
Elle avait raison, la dame.

Les avis du coin – une avalanche de compliments

Je me suis amusé à lire les commentaires, tiens.
Ça déborde de “J’adoooore !”, “Délicieux !”, “Authentique !”, “Je recommande vivement !”.
Et à chaque fois, Nat’ répond avec un petit mot gentil.
Je me demande même si c’est pas la personne la plus aimée de Google Maps dans tout le Nyonsais.

Y’en a un qui a râlé sur les horaires pas à jour, mais bon, on lui pardonne : peut-être qu’il a faim, et tout le monde sait qu’un ventre vide, ça rend grognon.
Et puis Nat’ a répondu poliment, avec un petit “Merci beaucoup pour votre avis”.
La classe, même avec les grincheux.

Le verdict du papy

Bon, soyons clairs :

Service : 5/5 – avec le sourire et la gentillesse incluses.
Cuisine : 5/5 – attention, risque d’addiction.
Ambiance : 5/5 – zen et joyeuse, comme une fin d’après-midi à Nyons.
Prix : 5/5 – imbattable pour ce niveau de qualité.

En résumé, si vous passez à Nyons, que vous avez chaud, faim, soif de voyage ou juste besoin d’un peu de douceur, filez chez Nat’CuisineThaï.
Moi, j’y retourne dès que possible. Et je vous le dis : la Thaïlande, c’est bien, mais la Thaïlande à Nyons, c’est encore mieux.