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Le Pont Roman de Nyons, c’est la star locale : toujours photogénique, toujours prêt à poser. Entre lumière dorée, pierres chaudes et rivière qui miroite, chaque photo ressemble à une carte postale vivante. Un monument qui traverse les siècles et nos albums souvenirs.
La place Buffaven en jour de marché, c’est un petit théâtre provençal : paniers qui s’entrechoquent, voix qui chantent, couleurs qui débordent. Entre olives, légumes et bonnes odeurs, tout Nyons semble se retrouver là. Une photo suffit pour sentir la vie qui circule.
Ces gaillards ont l’air de sortir tout droit d’un épisode de la Brigade du Tigre mais à la sauce nyonsaise ! Deux voitures, des moustaches impeccables, des chapeaux bien droits, et des mines sérieuses comme pour arrêter un olivier en fuite. Une scène délicieusement hors du temps.
Perchés sur les rochers de la Maladrerie, ces promeneurs semblent poser entre ciel et terre, comme suspendus au-dessus de Nyons. Les montagnes veillent derrière, le village s’étire en douceur, et tout respire la tranquillité d’un autre siècle. Une scène rare, presque peinte.
La Place de la Libération à Nyons, c’est le cœur battant de la ville : large, lumineuse, toujours animée. Entre les terrasses, les platanes et le va-et-vient des habitués, on y respire un air de liberté tranquille. Une scène typiquement nyonsaise, vivante et chaleureuse.
L’École des Filles de Nyons, vers 1930, respire la discipline tranquille d’une autre époque : tabliers, ombres sages et bâtiments solides. On y devine les rires retenus, les jeux d’avant la classe et cette atmosphère studieuse qui flotte encore autour des vieilles pierres.
Vieux Nyons, c’est un parfum de pierres chaudes, de ruelles serrées et de voix qui résonnent encore entre les façades. Un village suspendu dans le temps, où chaque coin raconte une histoire et chaque ombre murmure un souvenir. Le charme pur, intact.